Eugène Carrière, La famille de l'artiste (1893)
« Je me fais conter leur histoire et je découvre toujours que la fin de leur vie fut triste, nullement par leur faute, non ; elles semblent avoir été punies de leurs qualités : Aurore, si douce, Élisabeth, délicieuse ; Tamaïe, d'un coeur sauvage (par contre Imbertoune, autoritaire, et Marianne qui terrorisait les servantes, furent récompensées. Cela donne à réfléchir... »
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A.-M Gossez, « Sabine Sicaud 1913-28 »,
In Bulletin mensuel de la poésie en France et à l'Étranger,
N° 12, 25 mars (1938)